jeudi 18 décembre 2008

V° symposium des Expressions culturelles et artistiques de la méditerranéité





voici un petit reportage photo du V° symposium des Expressions culturelles et artistiques de la méditerranéité intitulé la méditerranéité entre le projet politique et le pari civilisationnel à Monastir 12-13-14 décembre 2008. organisé par le bureau national de l'association pour la culture et les arts méditérrannéens avec le bureau de Monastir



Mr sadok Ben Turkia et Mr Wassim Korbi



Exposition de l'artiste peintre Raouf Gara invité du Veme symposium


Concert du chanteur Zine Safi et Chedhli Khomsi invité du V eme symposium


Couverture médiatique du Symposium







voici la liste des conférences:

Dr Faouzia Zouari (France) - femme et méditérranéité
Pr Charles Bonn (France) : littérature francophone et méditerranéité
Pr Gianni Nieddu et Pr Giuliano Sigismondi ( Italie) : Technologies for securing the mediteeanean
Pr Joseph Mifsud (Malte) : the university for universities in méditerranean Region
Pr Andreja Viher (Slovenie) HE in euromed Région
Dr Rim Elkafi : (Tunisie) origine et flux migratoires des populations humaines de l'afrique du nord à travers l'analyse des polymorphismes de l'ADN mitochondrial.
Pr Essia Belhabib (Maroc) : littérature marocaine et méditerranéité
Pr Nada Trunck Sirca (solvenie) :world changing and hight education
Pr Giuseppe Gilberti (Italie) :human values as an approach to the euro Mediterranean dialogue
Pr Charbel Dagher ( Liban): entre le discours de l'origine ( des racines) et les possibilités de partenariat (en arabe)
Pr Paolo Bartaloni ( Italie) : fondazione campania dei festival : summer school in tradition and new creativity in the performing arts.
Dr Moez Soubani (Tunisie) : les TIC au profit de la méditerranéité de "MED"
Pr Kamel Eddine Gaha (Tunisie) : Réinventer la méditerranéité
Pr Mohamed Zine El Abidine ( Tunisie) : méditerranéité et géopolitique entre Art et rupture
Pr Hamed Ben Dhia (Tunisie) : Université et méditerranéité











mardi 16 septembre 2008

ACAM Kélibia à l'honneur sur ELPERIODICO.COM


les manifestations culturelles et artistiques de notre association pour la culture et les arts méditerranéens bureau de kélibia ne sont pas passé inaperçues de l'autre coté de la méditerranée. en effet l'artiste et journaliste catalan Josep Tero était parmi nous et a couvert quelques concerts et conférences pour le compte du journal catalan on line ELPERIODICO.COM, qui totalise plus de 100.000 lecteurs par jour.
Un article qui parle de notre association, de Kélibia, du concert de amel mathlouthi et de celui de Zine safi
Josep a beaucoup aimé l'interprétation en arabe de la chanson révolutionnaire très populaire de LlachL'estaca.
un article qui nous renvoi une autre image de notre travail et qui nous pousse à donner le meilleur de nous même pour la promotion de notre culture dans le bassin méditerranéen

le blogeur catalan LLUNA a relayé l'info sur son blog encisdelluna

 

lundi 15 septembre 2008

Tunisie / Kélibia, une ville, un festival et un artiste

par Tahar Chikhaoui Via babelmed.net

Depuis 1962, bien avant la naissance des JCC, les fameuses Journées cinématographiques de Carthage, Kelibia abrite tous les deux ans le festival international du film amateur dit le FIFAK. Organisé par la mythique Fédération Tunisienne des Cinéastes amateurs, l’une des deux principales organisations de cinéma avec la FTCC, la Fédération Tunisienne des Ciné-clubs, le FIFAK alterne depuis une trentaine d’années l’édition internationale avec une édition nationale. Celle-ci, contrairement à son aînée, se tenait à chaque fois dans une ville différente. Depuis 2000, la Fédération a choisi de l’organiser dans la belle ville de Kelibia, devenue ainsi le lieu d’adoption du film amateur. Ce fut le cas pour la quatorzième édition qui se tint du 3 au 9 août dernier. J’y vais donc, sollicité par le bureau fédéral pour animer une rencontre les 5 et 6 août autour de la place du film amateur dans le paysage cinématographique national.

Une ville, un festival
Nous sommes hébergés dans un ancien hôtel qui ne présente pas un autre avantage que celui d’offrir le gîte le soir tombant. Mais sa triste vétusté est largement atténuée par la vivacité des jeunes cinéastes amateurs dont les discussions se prolongent souvent jusqu’au petit matin. Cependant, les vrais lieux du festival se situent ailleurs. Dans la très agréable école de Pêche, au joli théâtre de plein air de la Maison de culture et, en dehors des heures de projection et de débat, sur la splendide plage de la Mansoura. Le programme est donc le suivant : le matin, les ateliers, l’après-midi la plage, le soir les projections et pour les insomniaques, d’interminables discussions dans le hall de l’hôtel ou dans le jardin de l’école de pêche.

Je ne saurais dire si c’est le festival qui par sa vigueur et sa jovialité a marqué la ville ou inversement si c’est la ville qui a empreint le festival de sa douceur et son charme. J’avoue ne pas avoir gardé en mémoire les films projetés, lesquels relèvent, pour la plupart, davantage de l’essai maladroit que de l’œuvre achevée. Non qu’ils ne valent rien ; au contraire, la fraîcheur, la liberté et l’audace avec lesquelles ils sont réalisés ne laissent pas indifférents. Mais ce que retient la mémoire du festivalier c’est le mariage heureux d’un festival et d’une ville, l’énergie juvénile des cinéastes amateurs alliée à la douceur tranquille de l’un des plus beaux sites balnéaires du Cap Bon. Il faut avouer qu’on aurait aimé voir des films plus mémorables, projetés dans de meilleures conditions mais on ne peut réprimer un fort sentiment de sympathie pour une manifestation atypique dans le contexte étriqué du cinéma tunisien. Il n’empêche que certaines œuvres se détachent du lot et annoncent de vrais talents tels l’audacieux et inventif « les guérisseurs » du cinéaste amateur Mohamed Ben Tbib, le fin « fil conducteur » de Karim Yakoubi et l’original « l’envers et l’endroit » film de fin d’études de Oussama Hfaiedh. Sur le premier et le deuxième, le jury films amateurs ne s’est pas mépris alors que le second est passé inaperçu par le jury films d’école.

Peut-être n’ai-je pas suffisamment fait attention non plus aux films, tout préoccupé que j’étais par la rencontre dont j’avais la charge. La problématique était difficile : que signifie aujourd’hui faire un film amateur ? Dans un contexte sociopolitique totalement différent de celui, euphorique, des années soixante, qui a vu naître la FTCA ? Le cadre institutionnel a radicalement changé avec d’une part l’apparition des écoles de cinéma et l’arrivée sur le marché de jeunes diplômés de cinéma et d’autre part l’évolution du cinéma professionnel ; dans le même temps l’outil n’a jamais connu de telles mutations. Autant de questions que nous avons agitées le cinéaste tunisien Jilani Saadi et moi-même devant un auditoire qui ne s’y attendait pas mais qui, formé pour la plupart de cinéastes amateurs, n’a pas mal réagi.
Mon attention était donc ailleurs, tournée davantage vers les lieux, les beaux lieux de Kélibia.

Au petit chalet de Raouf Gara
Je quitte donc l’Ecole de Pêche après les débats de l’après-midi, épuisé d’avoir trop parlé, quelque peu frustré de n’avoir pas été (ou de n’avoir pas eu le sentiment d’avoir été) suffisamment compris, ou peut-être tout simplement satisfait mais saturé d’une discussion intelligente ; bref, distrait, la tête ailleurs, j’aspire à quelque répit. Je traverse la rue, attendri par la langueur crépusculaire du vieux port abandonné, ce soir, comme chaque soir, par ses bateaux partis au loin. Je m’appuie sur la balustrade et m’abandonne à une vague méditation, le regard perdu dans le bleu. Porté par un désir confus, je descends les marches en me dirigeant vers le premier café face au port. Arrivé au bas des escaliers, j’aperçois un autre café, encore plus loin à droite, un petit chalet, tout couvert de plantes grimpantes. Il est érigé au milieu de la désolation, comme surgi de mes rêveries, solidaire du port avec l’air de le prendre à témoin de la laideur environnante. Je comprends aussitôt que je suis chez Raouf Gara, le peintre plasticien de Kélibia. Que l’on y prenne juste un café, que l’on décide d’y dîner ou que l’on se contente de visiter les lieux, non seulement on ne peut pas le quitter de si tôt mais il y a gros à parier qu’il ne passera pas un jour, le festival durant, sans que l’on y retourne soit pour le café soit pour le dîner soit pour la visite ou, plus probable, pour tout cela à la fois. Je connaissais vaguement l’artiste. Je fais la connaissance de l’homme et je pénètre mieux l’univers du créateur.


Quand on arrive chez lui, on a neuf chances sur dix de le trouver à l’accueil. Chaleureux, affable, on le dirait né avec le sourire. La soixantaine (il en fait dix de moins), le crâne rasé, les yeux clairs, il n’affiche nul signe ostentatoire contrairement à bon nombre de ses confrères qui aiment jouer les génies maudits perdus dans la cité. Un homme simple discret, attentif et accueillant, mais énergique, de cette énergie aquatique qui rend le geste souple. Il est toujours prêt à vous servir, mais toujours souverain. Tout à la fois maître et serviteur, il est le guide et l’hôte des lieux. Ayant vite droit à un tour du propriétaire, je visite le café, le restaurant, le musée, l’appartement personnel et la terrasse. Parce qu’elle est tout cela à la fois, la maison Gara. Je ne mesure plus la distance qui me sépare de mon hôte. A mesure que je monte les escaliers, je la sens se rétrécir. Il parle peu mais sa conversation tourne naturellement et indifféremment autour des choses de la vie, des soucis de l’art et des considérations de la pensée. Ses paroles comme ses gestes semblent faire partie intégrante du lieu, comme autant d’éléments visuels et sonores du décor. Il se plaît à me raconter que après moult détours, voyages et pérégrinations (il a séjourné en Allemagne, en France et au Japon, il s’est fixé un moment à Tunis, il a exposé en Italie, en Espagne et ailleurs), c’est là qu’il a fini par s’installer, et qu’il restera à jamais. Il est enraciné comme personne, mais d’un enracinement paradoxal : si prêt du port, comme sur le point de partir, et cependant toujours là. Je suppose qu’il se menace secrètement de quitter les lieux, tous les jours, et tous les jours, il se rétracte in extremis. Peut-être, au fond, part-il d’un départ qu’on ignore, sinon il n’aurait pas cette profondeur marine dans les yeux. Peut-être, célibataire éternellement provisoire, est-il simplement dans l’attente, là à quelques mètres du port, dans l’attente de quelqu’un, ou de quelque chose qui n’est pas encore venu ou qui vient tous les jours un peu. Peut-être s’emploie-t-il jour et nuit à l’accueillir à chaque fois un peu.

Son œuvre ne dit pas autre chose, qui est, il suffit de bien la regarder, travaillée par une poétique de l’accueil. A nulle autre pareille, ni peinture, ni sculpture, ni figurative ni abstraite, elle est tout à la fois peinture, sculpture, figurative et abstraite. Faite de bric et de broc, elle est toujours en passe de se form(ul)er. Des fragments de tout, poterie, récipients, jarres, vases et autres produits naturels ou humains, ramassés au gré des bons vents qui les amènent. Dans chacun de ses tableaux (on sait pas comment on doit les appeler) il y a d’étranges formes et toujours un cercle d’où sort timidement quelque chose, pointe phallique comme en sommeil, en retrait ou en attente de s’ériger à la faveur d’un désir à venir. Au bord des mers, le hasard du vent, de l’érosion, de l’eau et du temps fait souvent œuvre originale, donnant naissance à des objets hétéroclites, composition étrange faite de matériaux divers. Le travail de Raouf Gara ressemble à celui de la nature mais il ajoute au hasard une douceur savante, une grâce intelligente, de cette intelligence entendue au sens ancien, faite d’écoute et de complicité avec ce qu’amènent le temps et le vent dans un environnement souvent ardu, violent et destructeur.

A l’intérieur de ce petit chalet, j’ai l’impression, à l’entendre parler de son œuvre, là exposée, qu’il cultive secrètement le désir d’associer son interlocuteur à son musée, de l’inscrire dans son environnement, de l’ajouter à l’architecture de son univers. D’ailleurs, je joue le jeu. Je reviens le lendemain et le surlendemain comme s’il n’était plus concevable pour moi de me séparer des ces ornements. A la fois café, restaurant, musée et maison, le lieu est drôlement décloisonné. Composition d’artiste, l’espace, très public au rez-de-chaussée (c’est là où se trouve le café), le devient de moins en moins à mesure qu’on monte les escaliers. Vous traversez, charmé, le musée personnel et puis, d’un coup vous êtes chez lui, dans son salon, dans sa cuisine. Lorsque vous arriverez au plus haut de l’édifice, sur la terrasse, vous retrouverez le monde extérieur. Mais il n’est plus comme vous l’avez laissé en bas, il est transfiguré par le ravissement que vous a procuré la traversée du musée. Et là vous regardez le soleil couchant, pendant qu’à votre droite le fort byzantin surplombant la ville semble se livrer par-dessus votre tête à un entretien amusé avec le port languissant, sans jamais perdre de vue le nord de la Méditerranée, presque jaloux de l’implacable force testimoniale du lieu où vous êtes. Quand enfin vous partez de là pour rejoindre les camarades cinéphiles, vous ne pensez qu’à une seule chose. Revenir.

Vous vous dites qu’après tout, vous n’êtres pas allé trop loin. D’images vers d’autres images…

Tahar Chikhaoui (08/09/2008)

jeudi 11 septembre 2008

Raouf Gara expose à club Tahar el Haddad - la médina de Tunis

L'espace du club Tahar Haddad abrite l'exposition de l'artiste peintre Raouf Gara " mémoire des sables". un évènement artistique d'envergure ou Raouf présente ses dernières créations. ses sculptures nous invite à un voyage a travers le temps, l'histoire et la mer nostrum. des sculptures qui se fusionnent avec les murs sablés de l'ex écurie de Dar Lasrem. une exposition envoutante.
Exposition du 5 au 23 septembre 2008
voici un petit reportage photos







par adibs1

jeudi 28 août 2008

Soirée Musicale - Belhassen chennoufi chantant Brel





L'association pour la cultureet les arts méditérranéens a le plaisir d'inviter ses adhérants à la soirée de cloture de la saison culturelle estivale 2008.

Le samedi 30 Aout 2008 à l'espace culturel des arts - Raouf Gara - Vieux port


Au programme


Conférence de Dr Mounir Fantar -




soirée musicale avec Belhassan channoufi chantant Brel,
Belhassen CHENNOUFI s’est produit plusieurs fois de 2002 à 2004 dans le cadre des soirées musicales organisées par le Théâtre de l’Etoile du Nord à TUNIS. Son apparition le 15 janvier 2002, sous l’égide de l’Association Tunisienne pour la Pédagogie du Français de l’Ariana, a rencontré un grand succès auprès d’un public connaisseur (Professeurs de Français avec leurs élèves) venu (re)découvrir des poèmes et de belles mélodies qui défient le temps. Le journal La Presse s’en est fait l’écho et a salué l’initiative.



Conférence de Dr Mounir Fantar - La Synagogue de Kélibia

L'association pour la culture et les arts méditérrannéens de kélibia vous invite à la conférence en archéologie intitulée la découverte d'une synagogue antique à kélibia, présentée par Dr Mounir Fantar.

ça sera le samedi 30 Aout 2008 à l'éspace des arts -raouf Gara - Vieux port de Kélibia



L'association pour la

lundi 25 août 2008

Concert Zine Safi - extraits vidéos

Voici des extraits du concert live de Zine Safi présenté en cloture des manifestations culturelles et artistiques 2008 de L'association pour la culture et les arts méditérrannéens bureau de Kélibia.
Un concert exeptionnel

ZINE SAFI - Bahara bahara

Zine safi en concert à Kélibia


Zine Safi - le fort de Kélibia
paroles Mr Mansour M'henni
musique Mr chedhli Khomsi

entracte :may - jeune pianiste -Lettre a elise - Bethoven


Zine safi - Ne me quitte pas
paroles Mr Adem fethi
musique Mr chedhli khomsi

Parrains du concert:

KELICOM

Zine Safi en concert à Kelibia - Album photo

zine safi live


le compositeur chedli khomsi
un public aux anges

Zine Safi nous a fait rever






Concert Live Amel Mathlouthi vidéos

voici quelques extraits du concert d'Amel mathlouthi à kélibia
Amel nous a présenté son dernier Album intitulé "HELMA"
une excellente prestation: jugez de vous meme

Amel mathlouthi live



Amel mathlouthi en concert à kélibia


Amel mathlouthi - y'a kadhi l'ahkam


Amel mathlouthi - ahrar

Concert Amel mathlouthi - Album photos



Amel back stage
Amel mathlouthi et maher en répetition
Présentation du concert par Adib
Amel mathlouthi live
Un public d'exception

Soirée malouf - Vidéos

voici quelques extraits vidéos de la soirée Malouf présenté par l'ACAM kélibia
la soirée dirigée par Mr Youssef Gritli


acam kelibia presente une soirée Malouf


un autre extrait:

Acam kelibia presente une soirée Malouf

Conférence Karim Ben Mustapha - photos

Mr Karim ben mustapha en conférence
Mr jean louis thamin et Mr Mansour Mhenni
Raouf Gara

dimanche 24 août 2008

VIVRE



à Raouf Gara


À Kélibia — je veux dire
à un doigt de la Mer Blanche
dont le nom en français est
la terre du milieu
le blanc dispute au muscat
sa part d’ivresse le bleu
à l’espadon sa tendresse
mais dit-on n’est-ce pas
que boire et manger — aimer
en somme est source de
déraison mais je veux dire
source de vraie guérison
— quoi qu’il en soit à un doigt
de l’ultime guérison
le cœur lourd des raisons de
sa jubilation de battre
s’arrête puis aussitôt
reprend non sans engouement
son chemin vers la mort
où il n’y a pas de mort sans vie

— vivons de ne pas mourir
est notre raison de vivre


Aymen Hacen
Kélibia, le 16 VIII 08.
à suivre...

jeudi 21 août 2008

L'ACAM Kélibia présente Amel Mathlouthi en Concert




Dans le cadre des activités culturelles de l'ACAM kelibia, Amel Mathlouthi présentera un concert le 22 Août 2008 à l'espace culturel Raouf Gara, le vieux port.
Un moment d'exception sera partagé !

pour écouter les extraits de son dernier album visitez son blog



Parrains de l'evennement :








Téléphone :
97490785/97438363
Adresse e-mail :


Parrains de l'evennement :

mercredi 20 août 2008

La conférence de Kerim ben Mustapha :"AMP: Collecte des données, Zonation et propositions de gestion: Cas de Zembra"



L'association pour la culture et les arts méditérrannéens à l'honneur de vous inviter à venir assister à la conférence sur la biologie marine intitulée : "AMP: Collecte des données, Zonation et propositions de gestion: Cas de Zembra"

Ce
tte conférence sera présentée par Mr Karim Ben Mustapha de l
'Institut National des Sciences et Technologies de la Mer de Salambo.



ça sera le vendredi 22 Aôut 2008 à 19h l'éspace des Arts Raouf Gara - vieux port Kélibia



pour plus d'infos: Mr Sadek : 98633799